dimanche 13 septembre 2015

Les visages nus

Extraits de la série photographique
"Les visages nus" Photographies Patrick Renaud


Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.


Les fleurs du mal. Ch. Baudelaire

Les visages nus (toile 99-52) © patrick renaud

dimanche 7 juin 2015

LE PAYSAGE-MOUVEMENT / Jean-Christophe Bailly

Publication 
LE PAYSAGE-MOUVEMENT 
Jean-Christophe Bailly  

"Indexé aux régimes fixes de l’image ou du relevé, le paysage s’en exile pourtant continûment, que ce soit par son propre devenir ou par l’expérience que l’on fait de lui aussitôt que l’on s’y déplace, quel que soit dès lors le moyen employé. 
C’est ce paysage-mouvement, c’est la disposition du paysage au mouvement qui sont ici explorés, et par les voies les plus diverses : le vent, un canal, les premiers chemins de la Gaule, un projet futuriste abandonné, le cinéma, la ville de Detroit, une petite gare et deux plus grandes, et même le métro : il était fatal que ce n° 13 soit lui-même un voyage zigzagant."



LES FUGITIVES / DETROIT ©Marie Combes



Au sommaire de ce numéro 13 :
Marc Claramunt, Pierre Nouvel,
Claude Eveno, Michel Bousquet,
Romain Vallengelier, Alexandre Libersart, Julie-Amadea Pluriel, Sabine Bouché-Pillon, Alexandre Chemetoff, Marie Combes,
Anaïs Ancellin, Hermine de Chavannes, Antoine Feldman, Charlotte Kende,
Albane Poirier-Clerc & Bruno Ricard, Alain Bublex, Emmanuel Burdeau,
Juliette Kahane





LE PAYSAGE-MOUVEMENT 
Jean-Christophe Bailly
Extrait Publication mai 2015
LES FUGITIVES / DETROIT ©Marie Combes 


mardi 26 mai 2015

LE PAYSAGE-MOUVEMENT

LES CAHIERS DE L'ÉCOLE DE BLOIS #13 
LE PAYSAGE-MOUVEMENT avec Jean-Christophe BAILLY

LANCEMENT / RENCONTRE  
Jeudi 28 mai
http://www.librairievolume.fr/ 

Le concept d’image-mouvement inventé par Gilles Deleuze s’est aujourd’hui complètement imposé et il est pratiquement impossible d’envisager un plan de cinéma sans penser à lui. Il va de soi que le titre que nous proposons pour ce n° 13 des Cahiers de l’École de Blois – le paysage-mouvement – en dérive directement. On le sait, l’origine même du mot paysage indexe son référent à un régime de vue qui est celui du tableau et de l’immobilité : infinis ont été les effets de cette assignation du paysage à résider dans la forme à l’arrêt qu’indiquait son nom. Pourtant, et on devrait le savoir aussi ou l’avoir continûment à l’esprit, le paysage à l’arrêt n’existe pas comme tel – il n’existe et se transmet que par des images, celles-ci pouvant au demeurant être extraordinaires et puissamment suggestives. Mais cette spatialité du paysage que peintures, photographies et instants contemplatifs donnent à voir est elle-même emportée dans le temps : le paysage en effet change continûment, et il le fait de deux manières. Tout d’abord en évoluant sans fin – même ce qui nous semble pérenne est, à une échelle plus grande, le théâtre d’une série de métamorphoses enchevêtrées formant un continuum qui est à la fois le film de la natura naturans et celui, produit par les hommes, de l’anthropisation de la planète, aujourd’hui accélérée dans des proportions affolantes. Mais le paysage change aussi constamment sous nos yeux parce que nous nous y déplaçons et parce qu’il y a, inscrite dans la chair du territoire, une écriture visible de ces déplacements. La carte et le territoire sont d’abord des réseaux où nos déplacements passés, présents ou à venir ont laissé des marques, contrairement aux animaux, dont les sillages s’effacent vite.

Jean-Christophe BAILLY
au sommaire de ce numéro 13 :
Marc Claramunt, Pierre Nouvel, Claude Eveno, Michel Bousquet, Romain Vallengelier, Alexandre Libersart, Julie-Amadea Pluriel, Sabine Bouché-Pillon, Alexandre Chemetoff, Marie Combes, Anaïs Ancellin, Hermine de Chavannes, Antoine Feldman, Charlotte Kende, Albane Poirier-Clerc & Bruno Ricard, Alain Bublex, Emmanuel Burdeau, Juliette Kahane

dimanche 10 mai 2015

Publication / Les Cahiers de l'Ecole de Blois N°13


Invitée par Jean-Christophe Bailly pour l'édition
Les Cahiers de l'Ecole de Blois N°13
LE PAYSAGE -MOUVEMENT

je suis très heureuse de vous annoncer la publication d'un extrait de la série photographique
// Les Fugitives. Detroit. Faire un pas puis un autre //
Résidence artistique MODC'aR // septembre 2012 //

http://www.ensa-nancy.fr/actualites/evenements/conferences/recent-work-in-detroit.html

Parution du n°13 des Cahiers de l'école de Blois
présenté par Jean-Christophe Bailly
Librairie VOLUME - 47, rue notre Dame de Nazareth 75003 Paris
http://www.librairievolume.fr/

http://www.combesrenaud.com/mariecombes/news/


mardi 10 mars 2015

Vibrations, work Patrick Renaud

VIBRATIONS
work Patrick Renaud

Vibrations I & II
Stop, freeze, inhibit all movement. Of course some conclusion must be made. Anchor the photo to beliefs, but maybe, rather than a fraction of time, the image could be a development, a collection of possibles, of things done, successful or not. Negatives intermingle and uncover what is not. Is it still a landscape? Is it still an image?
December 2014


Vibrations I & II
Arrêter, figer, décourager le mouvement. Bien sûr il faut conclure. Ancrer la photo aux croyances mais elle pourrait être au lieu d’une fraction de temps un développement, un feuilletage de possibles, de choses faites ratées ou pas. Ainsi les négatifs s’entremêlent et découvrent ce qui n'est pas. Est-ce encore du paysage ? Est-ce encore une image ?
Décembre 2014


http://www.combesrenaud.com/patrickrenaud/vibrations-i/
http://www.combesrenaud.com/patrickrenaud/vibrations-ii-2014/ 

Vibrations ©Patrick Renaud / 96_a-16b / Format 100x100

samedi 3 janvier 2015

..une autre oscillation.. / photographies




L'exposition ".. une autre oscillation.."
est prolongée jusqu'au 4 janvier 2015 sur rendez vous
Contact +33(0)619 273 785

L'atelier // 15 rue Jules Ferry // 93170 // Bagnolet
Métro ligne 9 // Station Robespierre - sortie rue de Paris

Les Images englouties / Marie Combes
Série temporelle. Habiter le plus profond repli, le modelé des possibles, et laisser à la pensée une fiction stationnaire. Je suis dans un voyage qui ne peut se poser, il s’épuise. Défaire et refaire le matériau photographique, ce fil singulier et charnel s’entrecroise. Dans l’affectivité recommencer, encore, recommencer autrement l’énonciation de la transition, du passage, dans le désir de toucher.
août 2014



Vibrations I / Patrick Renaud
Arrêter, figer, décourager le mouvement. Bien sûr il faut conclure. Ancrer la photo aux croyances mais elle pourrait être au lieu d’une fraction de temps un développement, un feuilletage de possibles, de choses faites ratées ou pas. Ainsi les négatifs s’entremêlent et découvrent ce qui n'est pas. Est-ce encore du paysage ? Est-ce encore une image ?
décembre 2014


exposition // .. une autre oscillation .. // Marie Combes // Patrick Renaud